Bangkok… Paris ! Merci à tous mes amis venu m’accueillir sur la ligne d’arrivée au kilomètre zéro des routes de France, devant Notre Dame de Paris. C’était très étrange de pédaler à Paris et de revoir autant de têtes familières mais j’étais très heureux de vous voir ou revoir tous ! Merci aussi à tous ceux qui n’étaient pas sur la ligne d’arrivée mais que j’ai vu les jours suivants à Paris, où ceux que je vais voir plus tard à Rennes ou ailleurs.
Je vais reprendre la route ce jeudi vers Rennes en faisant un petit détour par la Normandie puis par la Loire-Atlantique pour rendre visite à la famille. Laissons l’aventure continuer! 🙂
Bangkok… Paris! Thanks a lot to all my friends who welcomed me on my arrival in Paris, final step of the #Bangkokparisbybike! It was really nice to see you guys there or later for those who couldn’t join us in the afternoon.
I am going to stay a few days in Paris and then keep cycling to Rennes, my hometown, where my family is waiting for me ! So the adventure is not ending yet 
🙂
Isabelle Deltombe
Difficile de trouver quelque chose d’intelligent à dire, à part : Bravo !!!
Pierre-Ad
Merci ! Dire bravo n’est pas stupide, c’est donc certainement intelligent ? 😀
A bientôt à Rennes.
Mongin
Cher Pierre-Adrien,
Ces quelques mots de fin de parcours de la part de Nané et d’Oncle Antoine.
Quel triomphe ! A Paris ! Quoi de plus rêvé d’être entouré de ta famille et de tes amis (es), pour les derniers kilomètres d’une jolie escapade des plus désirées et des plus méritées.
Il ne te reste, que quelques dizaines de kilomètres avant de regagner ton home sweat. Il ne te reste qu’à dérouler sur ton pédalier sans prendre aucun risque, et cela jusqu’à Rennes. The last but not the least, comme nous disons bien volontiers.
Cette fois-là dernière maxime du Jacquet ou du Micquelot :
« Un matin, nous partons, le cerveau plein de flamme,
Le cœur gros de rancune et de désirs amers,
Et nous allons suivant, le rythme de la lame,
Berçant notre infini sur le fini des mers (…).
Charles Baudelaire (« Le voyage », Les Fleurs du Mal)
Pourquoi être une chose alors, que l’on peut être quelqu’un ?
A très bientôt à Rennes, cher Pierre-Adrien ,
Avec toute notre affection,
Nané et Oncle Antoine